samedi 5 mars 2011
extraits de presse
Le poids de ces robes-sculptures,
Sur les Robes-Sculptures, surtout celles des spectacles sur la Reine Morte, extrait:
(...) Mes Robes-Sculptures, symbolisaient l’autorité lourde et écrasante
et de l’interdit propre à l’état fasciste.
Un corps ficelé de l’intérieur,
caché derrière les préjugés moraux et religieux.
Il m’a fallu quatorze ans pour me libérer de cet interdit.
Je devais apprendre à danser légère
en intégrant son poids dans mon corps.
Ensuite, je ne pourrais plus me laisser surprendre
par sa matérialité changeante,
Sa corruption sordide.
LM.
Sur la Reine morte, Inez de Castro :
( … ) Sans succès et depuis 1984,
Inez de Castro essaie d’échapper
au drame de sa mort.
Elle marche sur ses propres traces,
refaisant les gestes d’autrefois
et retrouve les sensations subtiles
d’une danse qui trompe la mort.
Inez revient, elle est seule et repose
la tête sur l’épaule de son amant, elle se souvient.
La Nourrice pétrit le pain ( corps d’Inez ),
qui se brise contre un destin imposé par
Le blanc récit de sa tombe.
L’évanouissement s’empare de la reine morte
et dans l’ourlet de sa robe se cachent
du sable rouge et des poignards sans maître.
Pedro l’habille de soie verte pour l’ultime parade
et déjà l’oiseau se meurt par la bouche.
LM. 2002
Extraits de presse :
« ( … ) Plein de projets en perspective
pour cette artiste chorégraphe et plasticienne
qui au gré des créations, construit un univers symbolique
et mythique ( … ) ».
Le Monde Interactif, Cristina Mariano.
« ( …) Lidia Martinez installe ses mythologies
personnelles comme des réseaux
de sens à décrypter, plutôt à ré-interpréter,
dans la veine d’autres plasticiens tels Chistian Boltanski,
Mike Kelley, Richard Baquié par exemple ( … ) «.
La Marseillaise, Claude Lorin.
« ( …) Exposition monographique de cette artiste plasticienne,
danseuse et chorégraphe à Miramas ( … ) »
Vogue Magazine.
« ( …) On connaissait ses solos trempés dans l’univers qui la caractérise.
En dansant multiples n’a jamais autant ému et transmis ( ... ) « .
Fédération de la Danse, Emerentienne Dubourg.b
«( … ) Théâtre, danse, performance ?
Comment définir son travail ?
La frontière est son élément géographique,
elle saute d’un art à l’autre avec aisance,
Cela dérange la critique et peut rendre difficile
la compréhension de son travail.
Elle est proche des artistes de » l’Art Povera « ,
par l’utilisation de matériaux conducteurs d’énergie.
L’emploi de fragments, de « déchets « soustraits à la vie,
servent à célébrer l’énigme de la vision,
ils interrogent notre conception de la danse,
du théâtre, celle du créateur, de l’artiste ( … ) « .
« Le jardin de Lidia Martinez «
Isabel Vila Nova Journal des Lettres( lisbonne )
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